mercredi 31 décembre 2008

Bonne année !

Nous la fêterons 2h avant vous cette année, mais nous penserons bien à vous ! Nous vous souhaitons à tous une très belle année 2009 ! Comme dirait un homme de Befoza, à présent c’est sûr, 2008 ne va pas s’en sortir ! Les malgaches du coin parlent beaucoup en image. Enfin, on croit Sœur Jeanne-marie car notre malgache n’est pas encore vraiment au point !

Nous serons donc toujours à Befoza pour fêter le démarrage de 2009, qui au vue de ces 3 dernières semaines, sera très certainement pour nous une année riche en découvertes, surprises, plaisirs, aventures et rencontres.

Mais aussi une année où nous penserons beaucoup à la France, nos familles, nos amis. Théodore a démarré le manège des naissances, nous en attendons encore 4 avant notre retour ! Nous penserons également aux futurs jeunes mariés et fiancés qui s’engagent pour poursuivre leur aventure à deux pour la vie. Cet engagement a pour nous été le démarrage de plusieurs projets de couple, dont celui que nous vivons ensemble. Nous vous souhaitons ce bel évènement aussi riche et heureux !

Continuez à nous donner de vos nouvelles sur « News de France », ou par e-mail, nous nous en abreuvons !

Et pour ceux qui souhaitent nous rejoindre, nous vous disons « tonga soa* » et à très bientôt en Thaïlande, Philippines, Australie ou Amérique du Sud !

Floliv'

* « bienvenue » en malgache. Juste pour le plaisir de rajouter un astérisque à mon texte car ceux de La Redoute me manquent ! :-)

Réponse


Bien vu Nico, c’est un champ d’ananas !

Et ils sont délicieux ! Ce sont les meilleurs ananas que nous ayons mangés ! Nous nous régalons à chaque nouvel ananas frais dans nos assiettes.

(sur cette photo, ils ne sont pas encore mûrs. Ils faut attendre qu'ils deviennent bien jaunes. La pleine saison de récolte démarre en janvier)

mardi 30 décembre 2008

Le champ de...

Petite question pour Milou et Flo : Quel est ce champ dans lequel se promènent Flo et Sœur Jeanne-marie ?
Indice, le fruit est délicieux.

Nettoyage

Olive ne perd pas ses bonnes habitudes de fée du logis. La poussière ambiante ne lui fait pas peur. Coup de balai sur notre « balcon » et notre escalier !


Pour répondre à une question de ma maman : mais comment allez-vous nettoyer vos vêtements ?
Alors voici la réponse ici à Befoza : à l’eau du puit ! Sans devenir crasseux, nous révisons notre jugement de valeur sur ce qui est sale, très sale, trop sale... aller au puit !

lundi 29 décembre 2008

Le caméléon

Nous avons rencontré un caméléon.

Le caméléon est un des animaux typiques de Madagascar. Plus de la moitié des espèces recensées sur la terre vivent à Madagascar ! Il en existe de toutes les tailles (de 2 à 50 cm), de toutes les formes et de toutes les couleurs. Celui que nous avons vu faisait à peu près 25 cm (queue comprise...)

Nous avons été surpris par ses yeux indépendants l’un de l’autre. Ils peuvent regarder dans des directions opposées. Un proverbe malgache dit que les caméléons ont un oeil tourné vers l’avenir et l’autre vers le passé. Ces animaux se déplacent de manière très lente (alors là un proverbe des sœurs dit qu’il marche lentement car il évite de marcher sur l’enfant Jésus).

Ils se camouflent dans le décor en changeant de couleur (ça vous le saviez !).

Ce sont d’excellents chasseurs. Celui que nous avons rencontré nous a fait la démonstration de ses talents aux dépends de deux criquets qui ont disparus dans sa « langue-lasso ». Sa langue était aussi longue que son corps !

Une averse nous a forcé à renoncer à notre contemplation. Mais notre objectif n’a pas loupé non plus son coup. On vous laisse découvrir notre rencontre du jour.

Andilamena

Nous avons été tellement surpris et ravis de la découverte de La ville du coin que cela mérite bien un post.

Donc Andilamena, pour ceux qui ne suivent pas, est située à une demi-heure de piste de Befoza. La ville est constituée de maisons en briques (cuites ou non cuites, pour reprendre l’image de Jean-Luc, dans l’histoire des 3 petits cochons, la brique non cuite équivaut à la maison en bois, un brin plus costaud que la paille mais cela ne vaut pas une brique bien cuite : Le cyclone « Ivon le terrible » de l’an dernier en a démolit plus d’une car l’eau déversée par le cyclone a dissout les briques non cuites) disposées le long de « rues » poussiéreuses de terre rouges et plus cabossées les unes que les autres.

Nous y avons accompagné Sœur Jeanne-marie pour faire des courses. En fait, Sœur Jeanne-marie qui part à Andilamena, c’est une demi-journée de visites diverses et variées. Cela commence par le mécanicien du coin pour réparer une pièce du moto-culteur, puis une visite au Chef de District (équivalent du sous-préfet en France). De là, nous avions une belle vue de la rue principale :
En sortant, nous traversons la route pour boire un panaché chez le capitaine de la gendarmerie. De là, nous avons pu apprécier une magnifique vue sur les rizières cultivées en contre-bas de la ville.

Nous continuons par les courses chez l’épicier. Bonbons de Noël pour les enfants et eau en bouteille et papier toilettes pour les Vazahas que nous sommes ! C’est noël après tout, ne nous refusons rien !

Nous visitons trois épiceries différentes, puis c’est au tour de la pharmacie et du médecin de recevoir la visite de sœur Jeanne-marie. Nous attendons, complètement absorbés par le spectacle de cette ville de brousse. Il parait que c’est calme aujourd’hui.

Arrêt technique pour reprendre du carburant dans des bouteilles en plastique et nous repartons à 10 ce coup-ci ! Les passagers s’engouffrent dans la benne bachée de notre 4x4. Nous les déposons dans un petit village sur la route.



Alors nous, nous sommes toujours partant pour aller à Andilamena ! C’est une fête à chaque fois !

dimanche 28 décembre 2008

Noël à Befoza

Très pieux, Olive l’avait prédit.

Le 24 au soir, nous sommes partis pour Andilamena, pour assister à la messe de minuit. Nous avons bien pensé à nos familles, pendant le trajet en 4x4 perdu au milieu de nulle part et pendant la messe. La messe ici est une fête, encore plus à Noël, parait-il. Toute l’église était pleine, les 3 entrées étaient noires de monde. Et il ne se passe pas 5 minutes sans qu’un chant s’élève enlevé par les enfants de chœur et repris par toute l’assemblée. Olive était sous le charme.

Le 25, nous sommes repartis pour célébrer Noël dans la petite paroisse de Befoza. La fête s’est déroulée dans la grande salle que nous avions décorée la veille. Comble du luxe, deux guirlandes lumineuses fonctionnant autour de la crèche en bois et de la branche de sapin.

Au programme, répétition des chants de la messe, puis spectacle de la paroisse, soit des chants religieux et une représentation de la nativité. Le principal étant de voir l’importance et la joie de cette fête pour la petite communauté

Après une nouvelle messe, chaque enfant est reparti avec un bonbon et une brioche.

On vous présente la chorale de la petite paroisse. Ce sont habituellement nos compagnons de champs car c'est aussi les vacances ici et les enfants dont les soeurs financent les études travaillent aux champs pendant leurs vacances. Nous mesurons la chance de notre enfance !
Mais ne les croyez pas malheureux, la bande est bien joyeuse et chante autant aux champs qu'à la messe.
Les tables ont été dressées dehors pour un repas sous l’ampoule et les étoiles du Sud, suivi d’une fête où Olive ne s’est pas fait prier pour danser.

Ici avec Nérine et Samuel.

Notre découverte de Befoza

Befoza, toujours pour les connaisseurs est à une demi-heure de piste d’Andilamena. Nous sommes au milieu de collines vierges de toute construction à perte de vue. Les couleurs qui nous entourent sont le vert des végétaux et le rouge de la terre.



Le ciel se partage entre le bleu et le gris car c’est la saison des pluies ici, mais il pleut moins qu’à Lille tout de même et surtout il fait très chaud. Au milieu de tout cela, il y a une petite ferme avec des bâtiments en cours-de construction.

Là, Sœur Jeanne-marie et Sœur Philibertine accomplissent un travail remarquable au service des plus pauvres. Elles ont créé cette ferme pour y recueillir les plus démunis et notamment des mères-enfants et leur bébé.


Les uns travaillent dans les champs et les rizières avec comme outils un mono-culteur, des pelles, et beaucoup de bras, les autres bâtissent le dernier bâtiment à coup de hachette et de marteau.
Sur cette photo, vous pouvez voir l'équipe de desherbage du futur champ de haricot blanc. Flo sourit encore parce qu'on a pas commencé. Imaginez désherber des champs entiers à la pelle et à la main... Nous avions commencé par semer des graines d'arachide, de maïs et de soja et nous préférons !


Nous avons le sentiment de partager une vie de pionniers.

On commence par l’équipée en taxi brousse

Nous sommes partis jeudi dernier à 16h de la Maison des Sœurs en taxi « ville », en direction de la gare routière des taxis cette fois-ci « brousse ». Les taxis ville nous font revenir 30 ans arrière puisqu’il s’agit de vieilles 4L, 2CV ou R5 dont leur fonctionnement tient du miracle ! Mais cela reste un transport luxueux comparé au taxi »be » de Tana (sorte de minibus où vous êtes toujours surpris qu’il reste de la place).

Notre taxi brousse est un « mini van » Mazda qui charge 15 personnes et autant de sacs ou d’oies (c’est Noël) qu’il y en a.

Nous avons les deux places du fond. Il parait que les meilleures places sont celles de l’avant (on en sortira convaincu !).

Nous avons de la chance pour démarrer car il reste 2 places vides dans le taxi brousse qui permettent à Flo d’étendre ses jambes. Et ça n’est pas un mal car le taxi brousse s’avère très inconfortable. Nous démarrons par 3h sur une route bitumée trouvant tant bien que mal notre position. Nous dégustons sans le savoir notre pain blanc.

3h après et une pause dîner à Moramanga pour les connaisseurs, nous repartons avec, oh déception, un passager de plus qui nous empêche dorénavant d’étendre nos jambes. 1h après, arrêt au milieu de nulle part, dans la nuit noire. Nous comprenons vite la raison de cet arrêt, nous sommes au début de la piste. Il nous reste 8h de trajet. Allez savoir pourquoi notre chauffeur attend que 2 véhicules lents nous dépassent pour repartir rouler sous le nuage de poussière qu’ils soulèvent sur la piste bien sèche. Flo s’équipe d’un foulard sur le visage qui ne la quittera plus.

Là, nous nous disons que le temps va être long... Il l’est effectivement ! Le taxi brousse a gagné sur la dormeuse inébranlable des transports ! On ne pensait pas que ça pouvait être pire mais si mais si... 4h après, le pot d’échappement a révisé son orientation et décidé de venir nous embaumer la poussière ambiante... Au dernier arrêt avant l’arrivée, Flo en a fait part au chauffeur qui ni une ni deux a tripoté le pot brûlant et a fini par tout simplement le retirer. Bilan, pour nous c’était pareil.

Nous avons vu l’aube se lever avec joie et nous sommes enfin arrivés à 5h30 à Befoza chez Sœur Jeanne-marie qui nous a accueilli avec le plus beau des sourires. Un point positif, notre taxi brousse n’a pas connu de panne, ni de retard ! Promis pour le retour, nous réservons les places, juste derrière le chauffeur, réputées pour être les meilleures !

Internet depuis la brousse !

En voilà une chance, les sœurs chez qui nous sommes depuis quelques jours déjà, ont une connexion Internet. Après quelques jours passés à essayer de l’activer, ça y est, nous retrouvons un moyen de communication avec la France. Il sera peut-être bref car les "Ko" nous sont comptés chers par Orange !

Nous voilà au milieu de la brousse entre 12h (quand tout va bien !) à plusieurs jours de taxi brousse de Tana Alors depuis une semaine, on a plein de choses à vous raconter !


jeudi 18 décembre 2008

Un petit mot sur nos hôtes mauriciens

Yan et Cécile Mayer.

Nous les connaissions un peu : croisés au détour de vacances en France, suivis pendant des mois sur leur blog carnet de voyage en Amérique du Sud.

Nous étions contents de les retrouver pour partager leur expérience de voyageurs et avons eu la chance de partager leur quotidien à l'Ile Maurice.

Cécile travaille à l'école française du Nord de 8h00 à 14h30 chaque jour. "Non", qu'elle nous a répondu, elle ne travaille pas moins qu'en France, il ya juste moins de pauses dans la journée et moins de problèmes de garde d'enfant l'après-midi. Cécile a l'âme d'une artiste. Elle crée des peintures avec des bouchons en bouteille avec ses élèves et toujours avec eux, elle fait revivre l'ancien train de Maurice (qui n'existe plus aujourd'hui) sous forme de fresque murale.

L'école française du Nord donne une image idyllique de l'école. Le seul hic est que c'est l'été ici et que les enfants ne sont pas en vacances ! Ils suivent le rythme de la France. Et sous les toits en taule, il fait un peu chaud.

Une chose est sûre c'est que, petits, nous aurions adoré avoir Cécile comme maîtresse.Grâce à Cécile, nous avons également fait la rencontre d'antiques tortues âgées de plus de 100 ans.


Yan, quant à lui, est un homme de la mer et de la montagne et même du vent (bientôt heureux propriétaire de son éolienne !).
Après nous avoir fait partager un apéro dans l'eau, promenés dans Port Louis, Yan nous a permis de vivre quelques moments magiques : snorkelling jusqu'à la barrière de corail, marche sur la grande barrière à la tombée du jour. Désolée, l'appareil photo n'a pas été de la partie et pourtant cela aurait valu 100 fois le coup.
Imaginez un peu : une marche sur une digue naturelle complètement recouverte d'algues vertes, à votre gauche le lagon turquoise et l'île, à votre droite l'océan d'un bleu plus profond agité de vagues, sur la digue un pêcheur, dans votre dos le coucher de soleil, à vos pieds des étoiles de mer rouges et des crabes de la taille d'un poignet. Surréel. Nous n'oublierons jamais ce moment !
Yan nous a également emmené grimper sur le "dos du Lion", un chemin introuvable sans un guide expérimenté !
Sans oublier la découverte de la dalle pourrie du dimanche matin. Délicieux, même après une soirée (très) bien arrosée au rhum.

Coup de coeur pour Camille, leur petite fille de 18 mois, intrépide et riante, qui tient à tous les coups de ses deux parents.

Nous souhaitons une bonne continuation à la famille qui s'agrandit bientôt et attendons des photos du bébé.















mercredi 17 décembre 2008

Demain départ pour la brousse

Notre programme à Madagascar se dessine.

Après quelques jours passés chez les Soeurs à Antananarivo, nous quittons demain en fin de journée la capitale pour Befouze, la communeauté-ferme des Soeurs que nous avons prévu de rejoindre pour quelques semaines (à 350 km au Nord de Tana sur les hauts plateaux)

Le départ en taxi brousse estprévu vers 17h et l'arrivée très tôt le matin. Mais ceci reste à priori approximatif !

Nous risquons fort de ne pas avoir accès à Internet durant les prochaines semaines. Aie, ça va être difficile, Flo est déjà accro aux nouvelles de France !

Si nous n'avons pas Internet avant notre retour sur Tana, nous vous présentons à tous, un peu en avance, nos meilleurs voeux pour la nouvelle année et penserons bien à la France, nos familles et nos amis en ces périodes de fêtes !

On vous embrasse tous,
Flo et Olive

mardi 16 décembre 2008

Chez les Soeurs Salésiennes à Tana

Voici les premières images de la ville que nous avons découverte en haut sur la Terrasse de la maison provinciale des Soeurs Salésiennes. Nous nous sommes crus 2 minutes à Hollywood... Mais pourquoi ? On vous laisse trouver sur la photo.

Une autre vue de la terrasse.


Nous mangeons avec les soeurs dans leur réfectoire. Enfin sauf les petits déjeuners pour le moment car 4h30 le matin c'est encore un peu tôt pour nous...


L'accueil est juste incroyable. Les soeurs sont aux petits soins pour nous. Sur la table, vous apercevez un petit bouquet de fleurs cueilli pour nous. Hier soir, nous avons eu la surprise d'avoir un spectacle et un énorme gateau d'accueil.
L'hospitalité malgache n'est pas une légende, les soeurs le portent d'ailleurs à son paroxysme.


Les soeurs nous facilitent grandement l'adaptation au pays.
Nous pensions la ville de Port Louis animée et grouillante de vie mais ce n'était rien comparé à Antananarivo !
Nous avons fait nos premiers pas dans la ville et les mini bus avec les soeurs à la rercherche d'une banque pour retirer des Aryari, la monnaie locale. Comme l'indiquait le guide du routard, cette opération qui peut sembler simple peut prendre jusqu'à une demi-journée... Et bien pour nous ce fut un jour et demi car la connexion ne fonctionnait pas hier.
La patience est notre meilleure amie ici. Et on s'y fait... Si si.

Blogspot nous fait des blagues, cette image devait arriver au-dessus, voici le réfectoire des soeurs. Nous allons d'ailleurs bientôt le rejoindre pour le repas du soir (il est 18h ici et les soeurs commencent tôt leur journée !)

En route pour Mada !

L'Ile Maurice nous a enchanté, une semaine humm... c'était un peu court quand même !

Nous avons décollé dimanche après-midi pour Mada. Une dernière image de Maurice et de sa barrière de corail. C'est promis nous reviendrons !

Nous vous avions parlé d'une bonne surprise : la voilà, nous avons testé la classe "business" !!!
Flo rêvait d'un surclassement et bien c'est fait !
Un peu grand pour un Duriez en fait...


Après 1h30 de vol, le paysage a complètement changé et nous découvrons les alentours de Antananarivo.

3 jours dans le Sud de Maurice

La maison de Sylvie est une ancienne demeure remplie de charme dans un décor de rêve. Où les petits déjeuners prennent une saveur incroyable...

Avec un jardin à débordement sur mer...
Oh un nuage...
Même les barrières sont belles !
Coucher de soleil version cocotier du jardin
Sinon l'Ile Maurice n'est pas toujours de tout repos... Surtout quand Yan est en week-end.
Après nous avoir proposé un "petit bain" durant lequel nous l'avons suivi jusqu'à la barrière de corail en luttant contre le courant, Yan nous a proposé une "petite rando" sur la Montagne du Lion. Ce fut une belle grimpette et un apprentissage du vocabulaire de Yan : l'adjectif "petit" est une ponctuation qui ne signifie surtout pas "petit"!
En récompense, nous avons admiré des paysages à couper le souffle.


Avec quelques sensations de vertige, surtout pour Flo qui a adopté les techniques de l'araignée sur quelques parties du parcours.

3h après avoir admiré ce paysage, nous étions dans l'avion ou une bonne nouvelle nous attendait...